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Depuis longtemps, je suis fascinĂ© par la façon dont les Juifs sont obsĂ©dĂ©s par les personnages historiques dĂ©cĂ©dĂ©s qui ont fait des commentaires peu flatteurs sur leur race. Plus ils sont cĂ©lĂšbres et talentueux, plus lâobsession est forte. De telles prĂ©occupations ont dĂ©jĂ Ă©tĂ© Ă©voquĂ©es Ă lâOccidental Observer, par exemple dans la vendetta juive contre T.S. Eliot et contre son contemporain Ezra Pound. Dans T.S. Eliot, lâantisĂ©mitisme et la forme littĂ©raire dâAnthony Julius, par exemple, Julius Ă©crit que les Juifs qui lisent la poĂ©sie dâEliot sont Ă la fois « consternĂ©s et impressionnĂ©s »
Ils sont consternĂ©s parce quâils perçoivent une critique injustifiĂ©e de leur groupe ethnique, et ils perçoivent cette critique de maniĂšre plus aiguĂ« en raison de leur ethnocentrisme. Ils sont impressionnĂ©s, dâautre part, parce quâils apprĂ©cient le talent de leur cible, souvent malgrĂ© eux, et quâils se sentent menacĂ©s par ce talent. « Lâattraction » qui les ramĂšne sans cesse vers leur cible provient du dĂ©sir de dĂ©construire et de rabaisser ce talent, et donc de se venger ou dâattĂ©nuer la critique.
Les juifs sont aussi fermement sous lâemprise dâune peur ou dâune paranoĂŻa enracinĂ©e dans lâhistoire. Le passĂ© est toujours prĂ©sent pour les juifs, ce qui les pousse Ă entreprendre des actions risquĂ©es et extrĂȘmement agressives contre les populations dâaccueil. Lâexpression parfaite de cette paranoĂŻa se trouve dans un article trĂšs rĂ©cent du journaliste juif Barney Ronay, paru dans The Guardian. Ronay se trouvait en Allemagne pour couvrir le championnat dâEurope de football, mais il nâarrivait pas Ă se concentrer sur le sport. Il informait ses lecteurs quâil a « adorĂ© ĂȘtre dans cet endroit chaleureux et amical pour lâEuro 2024, un retour Ă la maison en quelque sorte. Mais cela ne mâempĂȘche pas dâĂȘtre terrifiĂ© ».
Il poursuit :
Voici, Ă titre dâexemple, une liste non exhaustive de choses allemandes qui mâont semblĂ© terrifiantes, commencĂ©e le premier jour de lâEuro, lorsquâune Allemande heureuse riait de maniĂšre incontrĂŽlĂ©e dans un train traversant une forĂȘt Ă lâextĂ©rieur de Munich et que jâai rĂ©alisĂ© quâun rire allemand heureux et incontrĂŽlable est terrifiant. Les trains allemands sont terrifiants. Les voies de garage allemandes sont terrifiantes.
Il y a des vibrations de transport ici, de lâĂ©nergie qui sâenfuit. Une forĂȘt allemande est terrifiante, en particulier une clairiĂšre allemande. Un parc allemand vide au crĂ©puscule est terrifiant. Une place de village allemande est terrifiante⊠Quoi dâautre ? Des meubles allemands en bois foncĂ©. Une rangĂ©e de vĂ©los allemands garĂ©s (OĂč vont-ils ? Aurai-je besoin dâun vĂ©lo ?). Les escaliers, les couloirs et les valises allemands. La plupart des chaussures allemandes. Toutes les chaussures allemandes mises au rebut.
Nombre de ces peurs trouvent leur origine dans les contes transmis aux enfants juifs et renforcĂ©s par les groupes culturels et politiques juifs. La peur est un ingrĂ©dient clĂ© du ciment qui lie lâethnocentrisme juif, ce qui explique pourquoi lâADL investit beaucoup dâargent dans des enquĂȘtes sur lâantisĂ©mitisme destinĂ©es Ă terrifier et Ă guider le troupeau ethnique vers une action cohĂ©sive. Dans le cas de Ronay, « le mythe familial veut quâun de mes oncles Ă©loignĂ©s ait Ă©tĂ© tirĂ© dâun train et abattu. La balle lui a traversĂ© le cou, il sâest allongĂ© un peu, sâest relevĂ© et a rejoint la rĂ©sistance ».
Je salue lâutilisation du mot « mythe », mais il existe des centaines de milliers de familles juives qui considĂšrent ces histoires fantastiques de croque-mitaine comme des faits historiques. La peur juive et lâethnocentrisme juif ont besoin de leurs croque-mitaines, quâil sâagisse de personnages Ă©vidents comme Hitler ou de figures culturelles plus persistantes comme Eliot ou Pound â des figures dont on peut encore parler publiquement avec un certain niveau de respect et dâadmiration. Parmi ces figures, nous trouvons Carl Jung.
Carl JUNG et la culture de la critique
Bien que, ou peut-ĂȘtre parce que, Jung ait Ă©tĂ© associĂ© Ă la psychanalyse, un mouvement si juif quâil constitue lâun des mouvements intellectuels juifs mis en lumiĂšre dans Culture of Critique de Kevin MacDonald, le psychiatre suisse est devenu, ces derniĂšres annĂ©es, de plus en plus souvent lâobjet de condamnations, de dĂ©constructions et de critiques. Dans lâouvrage rĂ©cemment publiĂ© AntisĂ©mitisme et psychologie analytique : Jung, politique et culture, lâuniversitaire juif Daniel Burston Ă©crit que :
Dans le monde actuel de la psychothĂ©rapie, on ne peut ĂȘtre jungien sans devoir rĂ©pondre Ă lâaccusation selon laquelle Jung Ă©tait Ă la fois nazi et antisĂ©mite⊠Ses dĂ©clarations sur les valeurs excessivement matĂ©rialistes de la psychologie juive et leurs effets corrosifs sur la nature spirituelle de la psychĂ© ont Ă©tĂ© faites dans les annĂ©es 1930⊠Les psychanalystes sâen sont servis pour ne pas Ă©tudier Jung ; dâautres intellectuels sâen sont servis pour discrĂ©diter Jung !
Dans un paragraphe qui ressemble un peu Ă un roman dâhorreur, la place de Jung en tant que croque-mitaine est introduite trĂšs tĂŽt, lâantisĂ©mitisme Ă©tant expliquĂ© comme un phĂ©nomĂšne mystĂ©rieux, fantomatique et terrifiant :
AprĂšs avoir lu ce livre, les jungiens comprendront peut-ĂȘtre pourquoi tant de juifs considĂšrent lâantisĂ©mitisme comme un adversaire changeant mais immortel qui vit pour toujours dans les recoins cachĂ©s des cultures chrĂ©tiennes et musulmanes ; un adversaire qui reste en sommeil pendant des pĂ©riodes plus ou moins longues, mais qui revient toujours pour nous tourmenter Ă travers les Ăąges.
Changeant de forme et sans mort. Oh lĂ lĂ .
Burston Ă©tablit une distinction entre ce quâil appelle les antisĂ©mites « de bas Ă©tage et de haute intensitĂ© » et les antisĂ©mites « de haut Ă©tage et de basse intensitĂ© ». Il cite explicitement Kevin MacDonald comme exemple de ces derniers, et place Jung dans cette catĂ©gorie Ă©galement. Burston affirme que les « intellectuels antisĂ©mites » comme MacDonald et Jung, bien que non violents, « offrent Ă©galement une couverture ou un soutien Ă des antisĂ©mites moins Ă©duquĂ©s et plus manifestes lorsque les circonstances lâexigent ». On prĂ©tend donc que des hommes comme MacDonald et Jung sont essentiellement des voyous en costume-cravate.
Burston rattache la pensĂ©e de Jung au mouvement nĂ©o-conservateur dominant pendant ses annĂ©es dâuniversitĂ©, Jung Ă©tant dĂ©peint comme sâĂ©tant imprĂ©gnĂ© dâun quasi-germanisme semi-barbare. « Il rejetait le naturalisme et Ă©tait attirĂ© par le symbolisme et lâirrationalisme. En politique, il remettait en question la dĂ©mocratie et rejetait le socialisme, lui prĂ©fĂ©rant un Ă©litisme nietzschĂ©en⊠Jung a adoptĂ© la critique de la modernitĂ© [dâEduard von Hartmann] [y compris sa] prĂ©occupation concernant la âjudaĂŻsationâ de la sociĂ©tĂ© moderne. . . . Pour Jung, Freud est devenu le reprĂ©sentant dâune telle vision rationaliste et âdĂ©senchantĂ©eâ du monde ».
Sigmund FREUD
Dans les annĂ©es 1920 et 1930, les partisans de Freud et de Jung se considĂšrent de plus en plus comme des adversaires dans une bataille pour la civilisation telle quâils la dĂ©finissent. En raison de son anti-matĂ©rialisme et de sa critique des thĂ©ories les plus perverses de Freud, les freudiens, dont la plupart Ă©taient juifs, considĂ©raient Jung comme un antisĂ©mite et, plus tard, comme « un hĂ©raut de la barbarie fasciste et nazie ». Burston poursuit dans cette veine, arguant dâun « lien significatif et troublant entre la dynamique de lâantisĂ©mitisme au cours des siĂšcles et la psychologie et la politique de Carl Jung ».
Un problĂšme crucial que les juifs, dâhier et dâaujourdâhui, ont avec Jung est quâil a osĂ© retourner le regard analytique sur les juifs eux-mĂȘmes. Alors que lâensemble de la psychanalyse semblait orientĂ©e vers ce que Kevin MacDonald a appelĂ© « une critique radicale de la sociĂ©tĂ© des goyim », ainsi que vers le dĂ©veloppement de thĂ©ories Ă©goĂŻstes de lâantisĂ©mitisme, Jung a dĂ©veloppĂ© une critique acerbe des juifs et de ce quâil a appelĂ© « lâantichristianisme juif », nombre de ses observations provenant dâune expĂ©rience directe avec le milieu psychanalytique juif. En dâautres termes, Jung mettait les charlatans juifs « sur le divan ». Dans une lettre Ă un associĂ© datĂ©e de mai 1934, Jung explique :
Le complexe juif du Christ est Ă lâorigine dâune attitude gĂ©nĂ©rale quelque peu hystĂ©risĂ©e [âŠ] qui mâest apparue particuliĂšrement claire au cours des attaques antichrĂ©tiennes dont je fais actuellement lâobjet. Le simple fait que je parle dâune diffĂ©rence entre la psychologie juive et la psychologie chrĂ©tienne suffit pour permettre Ă quiconque dâexprimer le prĂ©jugĂ© que je suis un antisĂ©mite⊠Comme vous le savez, Freud mâa dĂ©jĂ accusĂ© dâantisĂ©mitisme parce que je ne pouvais pas tolĂ©rer son matĂ©rialisme sans Ăąme. Le juif suscite vraiment lâantisĂ©mitisme par son empressement Ă trouver lâantisĂ©mitisme partout . Je ne vois pas pourquoi le juif, comme tout soi-disant chrĂ©tien, est incapable de supposer quâil est personnellement critiquĂ© lorsquâon a une opinion sur lui. Pourquoi faut-il toujours supposer que lâon veut condamner le peuple juif ?
Pour cet affront, Jung est Ă la fois dangereux et impardonnable aux yeux des juifs. Burston est loin dâĂȘtre le seul Ă vouloir diminuer Jung en raison de ses opinions sur les juifs. Ă la fin des annĂ©es 1990, un effort similaire a Ă©tĂ© fait par lâuniversitaire juif britannique Andrew Samuels, qui a affirmĂ© que « chez C.G. Jung, le nationalisme a trouvĂ© son psychologue ». La rĂ©ponse craintive de Samuels Ă Jung a Ă©tĂ© de prĂ©tendre que câĂ©tait Jung qui Ă©tait saisi par la peur des juifs. Samuels a essayĂ© de mettre Jung « sur le divan » et de psychologiser ses attitudes Ă lâĂ©gard des juifs en les expliquant comme Ă©tant enracinĂ©es dans des sentiments de menace :
Je pense que les idĂ©es de nation et de diffĂ©rence nationale forment un point dâappui entre le phĂ©nomĂšne hitlĂ©rien et la psychologie analytique de Jung. En effet, en tant que psychologue des nations, Jung se sentirait lui aussi menacĂ© par les juifs, cette Ă©trange soi-disant nation sans terre. Jung se sentirait lui aussi menacĂ© par les juifs, cette Ă©trange nation sans formes culturelles â câest-Ă -dire sans formes culturelles nationales â qui lui sont propres et qui, selon les termes de Jung en 1933, a donc besoin dâune « nation dâaccueil ». Ce qui menace Jung, en particulier, peut ĂȘtre Ă©clairĂ© en examinant de prĂšs ce quâil voulait dire lorsquâil a Ă©crit, comme il le fait souvent, la « psychologie juive ».
MĂȘme au dĂ©but des annĂ©es 2000, il semblait y avoir un fossĂ© entre les chercheurs non juifs dĂ©sireux de maintenir Jung dans lâĆil du public et les chercheurs juifs dĂ©sireux de le jeter dans le caniveau. Dans une lettre adressĂ©e au New York Times en 2004, un certain « Henry Friedman » sâen prend Ă Robert Boynton (NYU) et Ă Deirdre Bair (biographe laurĂ©ate du National Book Award) pour leur accord apparent sur le fait que Jung nâĂ©tait « ni personnellement antisĂ©mite, ni politiquement astucieux », absolvant ainsi Jung de certaines des pires accusations portĂ©es contre lui par des critiques juifs dĂ©sireux de lâassocier aux idĂ©es du national-socialisme. Selon Friedman, il sâagit lĂ dâune « nouvelle contribution Ă une tentative trompeuse de minimiser lâimportance du racisme antisĂ©mite de Jung et de ses contributions aux politiques gĂ©nocidaires du TroisiĂšme Reich ». Friedman poursuit :
Il est pathĂ©tique que Jung soit exonĂ©rĂ© de la responsabilitĂ© de son racisme virulent et de son importance dans le mouvement nazi. Plus important encore, il est probable que ses idĂ©es sur la psychanalyse aient jouĂ© un rĂŽle dĂ©terminant dans le dĂ©sir dâHitler et de Göring de nettoyer la psychanalyse des idĂ©es de Freud â en particulier la notion de complexe dâĆdipe, qui a apparemment heurtĂ© les sensibilitĂ©s dâHitler.
Conclure que Martin Heidegger a Ă©tĂ© un plus grand collaborateur que Jung revient Ă dĂ©tourner lâattention de la nature sĂ©rieuse de lâimplication de Jung dans la propagande antisĂ©mite des nazis. Il est difficile dâĂ©valuer sâil a Ă©tĂ© plus coupable que Heidegger, mais en tant quâauteur dâarticles sur lâinfĂ©rioritĂ© de la race juive, Jung mĂ©rite un degrĂ© particulier de condamnation, et non lâexcuse boiteuse que lui accordent Bair et Boynton.
Attitudes de Jung Ă lâĂ©gard des Juifs
Les Ă©crits professionnels et privĂ©s de Jung contiennent une quantitĂ© importante de matĂ©riel sur les juifs, et le contenu est le plus souvent trĂšs critique. Il nâest donc pas surprenant que les juifs considĂšrent Jung comme un adversaire redoutable. Jung a fait de nombreuses dĂ©clarations qui semblent concorder avec lâĂ©valuation de Kevin MacDonald selon laquelle la psychanalyse sous Freud Ă©tait un mouvement intellectuel juif. En 1934, Jung a Ă©tĂ© trĂšs critiquĂ© pour un article quâil a publiĂ© sous le titre LâĂ©tat de la psychothĂ©rapie aujourdâhui, dans lequel il Ă©crivait que la psychanalyse Ă©tait « une psychologie juive ». Se dĂ©fendant dâĂȘtre accusĂ© de racisme pour avoir suggĂ©rĂ© que les juifs et les EuropĂ©ens avaient une psychologie diffĂ©rente, Jung a expliquĂ© :
Il existe des diffĂ©rences psychologiques entre toutes les nations et toutes les races, et mĂȘme entre les habitants de Zurich, de BĂąle et de Berne. (Il existe en effet des diffĂ©rences entre les familles et entre les individus. Câest pourquoi jâattaque toute psychologie niveleuse lorsquâelle prĂ©tend Ă une validitĂ© universelle, comme par exemple la psychologie freudienne et la psychologie adlĂ©rienne⊠Toutes les branches de lâhumanitĂ© sâunissent en une seule tige â oui, mais quâest-ce quâune tige sans branches sĂ©parĂ©es ? Pourquoi cette susceptibilitĂ© ridicule lorsque quelquâun ose parler de la diffĂ©rence psychologique entre les juifs et les chrĂ©tiens ? Chaque enfant sait quâil existe des diffĂ©rences.
Jung pensait que les juifs, comme tous les peuples, ont une personnalitĂ© caractĂ©ristique, et il insistait sur la nĂ©cessitĂ© de tenir compte de cette personnalitĂ©. Dans sa propre sphĂšre dâexpertise, Jung a averti que « les psychologies de Freud et dâAdler Ă©taient spĂ©cifiquement juives et nâĂ©taient donc pas lĂ©gitimes pour les Aryens » Pour Jung, un facteur formateur de la personnalitĂ© juive Ă©tait le dĂ©racinement des juifs et la persistance de la diaspora. Jung soutenait que les juifs manquaient dâune « qualitĂ© chthonienne », ce qui signifie que « le juif (âŠ) est en grande perte de cette qualitĂ© de lâhomme qui lâenracine dans la terre et puise de nouvelles forces en bas » Jung a Ă©crit ces mots en 1918, mais ils conservent leur signification mĂȘme aprĂšs la fondation de lâĂtat dâIsraĂ«l, puisque beaucoup plus de juifs vivent en dehors dâIsraĂ«l quâĂ lâintĂ©rieur de celui-ci.
Les juifs restent un peuple de la diaspora, et beaucoup continuent Ă considĂ©rer leur statut de diaspora comme une force. Cependant, parce quâils sont dispersĂ©s et sans racines, Jung a soutenu que les juifs ont dĂ©veloppĂ© des mĂ©thodes pour sâen sortir dans le monde qui reposent sur lâexploitation des faiblesses des autres plutĂŽt que sur lâexpression dâune force explicite. Selon Jung, « les juifs ont cette particularitĂ© en commun avec les femmes ; Ă©tant physiquement plus faibles, ils doivent viser les failles dans lâarmure de leur adversaire ».
Jung pensait que les Juifs Ă©taient incapables de fonctionner efficacement sans une sociĂ©tĂ© dâaccueil, et quâils dĂ©pendaient fortement de leur capacitĂ© Ă se greffer sur les systĂšmes dâautres peuples pour rĂ©ussir. Dans LâĂ©tat de la psychothĂ©rapie aujourdâhui, Jung Ă©crit : « Le juif, qui est en quelque sorte un nomade, nâa encore jamais crĂ©Ă© une forme culturelle qui lui soit propre et, pour autant que nous puissions le voir, ne le fera jamais, puisque tous ses instincts et talents exigent quâune nation plus ou moins civilisĂ©e serve dâhĂŽte Ă leur dĂ©veloppement ». Ce processus de dĂ©veloppement du groupe impliquait souvent de « viser les failles dans lâarmure de lâadversaire », ainsi que dâautres stratĂ©gies flexibles.
Jung pensait Ă©galement ( comme Kevin MacDonald ) quâil existait une certaine agressivitĂ© psychologique chez les juifs, qui rĂ©sultait en partie de la mĂ©canique interne du judaĂŻsme. Dans une sĂ©rie dâobservations remarquablement prĂ©monitoires des annĂ©es 1950, Jung a exprimĂ© son dĂ©goĂ»t pour le comportement des femmes juives et a essentiellement prĂ©dit la montĂ©e du fĂ©minisme en tant que symptĂŽme de la juive pathologique. Jung pensait que les hommes juifs Ă©taient les « Ă©pouses de YahvĂ© », ce qui rendait les femmes juives plus ou moins obsolĂštes au sein du judaĂŻsme. En rĂ©action, selon Jung, les femmes juives du dĂ©but du vingtiĂšme siĂšcle ont commencĂ© Ă exprimer agressivement leurs frustrations contre la nature masculine du judaĂŻsme (et contre la sociĂ©tĂ© dâaccueil dans son ensemble) tout en se conformant Ă la psychologie juive caractĂ©ristique et aux stratĂ©gies qui y sont liĂ©es.
Dans une lettre adressĂ©e Ă Martha Bernays, lâĂ©pouse de Freud, ce dernier a fait remarquer Ă propos des femmes juives que « beaucoup dâentre elles sont bruyantes, nâest-ce pas ? » et a ajoutĂ© plus tard quâil avait traitĂ© « de trĂšs nombreuses femmes juives â chez toutes ces femmes, il y a une perte dâindividualitĂ©, soit trop, soit pas assez ». Mais la compensation est toujours pour le manque. En dâautres termes, ce nâest pas la bonne attitude ».
Jung, quant Ă lui, Ă©tait prudent face aux accusations dâantisĂ©mitisme, et il Ă©tait « critique de la sensibilitĂ© excessive des Juifs Ă lâantisĂ©mitisme », estimant « quâon ne peut pas critiquer un juif individuel sans que cela ne devienne immĂ©diatement une attaque antisĂ©mite ». Il est certainement difficile de croire que Jung, qui soutenait essentiellement que les juifs avaient un profil psychologique unique et avaient dĂ©veloppĂ© une mĂ©thode unique pour sâen sortir dans le monde, aurait Ă©tĂ© en dĂ©saccord avec la prĂ©misse fondamentale presque identique de la trilogie de MacDonald.
En fait, Jung pensait que jouer les victimes et utiliser les accusations dâantisĂ©mitisme contre leurs dĂ©tracteurs faisaient simplement partie de la stratĂ©gie juive â une couverture utile pour une action ethnocentrique concertĂ©e en « visant les failles dans lâarmure de lâadversaire ». Par exemple, aprĂšs la guerre, dans une lettre adressĂ©e en 1945 Ă Mary Mellon, il Ă©crit : « Il est cependant difficile de mentionner lâantichristianisme des juifs aprĂšs les choses horribles qui se sont produites en Allemagne. Mais les juifs ne sont pas si innocents aprĂšs tout â le rĂŽle jouĂ© par les intellectuels juifs dans lâAllemagne dâavant-guerre serait un objet dâenquĂȘte intĂ©ressant » En effet, MacDonald note :